Il faut sauver nos bistrots !

…… Longtemps considéré comme un lieu de perdition, rempli d’une population imbibée, enfumée et braillarde, aux yeux d’une population trop puritaine, voilà qu’aujourd’hui, sa disparition inquiète.

Alors que certains maires de campagnes essayent par tous les moyens de maintenir, voire de rouvrir ces estaminets, garants des souvenirs de leurs villages, d’autres, moins scrupuleux sous couvert de l’ordre public, s’acharnent sans répit sur des patrons de bars, jugés trop fort en gueule, qui pourraient faire ressurgir quelques non-dits, certains soirs où le vin coule plus que de raison (*).

(*) à lire prochainement: « Patron de bar, un contre pouvoir »

C’est dans ce  climat de contradiction que naît un constat accablant:

« Le bistrot, un patrimoine en péril »

 

Ce phénomène prend une telle ampleur que désormais, la presse nationale, aussi bien que l’internationale s’est emparée du sujet

LogoLePointFr-2

« Il faut sauver nos bistrots ! »

 Selon une étude parue aujourd’hui dans « Le Parisien », la France n’a jamais compté aussi peu de cafés. Mais où sont passés nos temples de la convivialité ?

Par

Publié le – Modifié le | Le Point.fr
Dans les années 1960, nous apprend le quotidien, on comptait 600 000 troquets ; aujourd'hui, il en reste moins de 35 000.
Dans les années 1960, nous apprend le quotidien, on comptait 600 000 troquets ; aujourd’hui, il en reste moins de 35 000. © Maxppp/ Jean-Baptiste QUENTIN
Ce contenu a été publié dans Infos Générales. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *