Moulin de CIVRY – L’heure de Vérité /4

Les conséquences …!

Peut-on dire que les sinistres survenu au moulin de Civry soient liés avec la vague de démission qui à suivi au sein de la CCHVS, propriétaire de l’édifice, rappelons-le.

Au moment des faits, le président de la CCHVS est le même que celui qui a conduit, « seul », le projet moulin. S’est-il senti en danger ou fautif?. Sa réaction semble l’accuser, car il donnera sa démission quelques jours plus tard. Une démission qui propulse directement le 1er vice président d’alors, en première ligne. Ce dernier mettra à profit cette situation en consultant l’ensemble des dossiers sensibles présentés au cours de précédentes réunions, auxquels il avait souhaiter, sans succès, obtenir des réponses.

Le moulin, faisant parti de ses recherches, il y a apporté une attention particulière. Il en est ressorti des éléments pouvant mettre en porte à faux élus et entreprises.

Pendant ce temps un nouveau bureau était en train de ce mettre en place. Peut-on dire que la démission du président, un mois après son élection, est liée à ces fameux dossiers sensibles… dont le moulin? Lui seul pourrai répondre.

Cette situation propulse la CCHVS à de nouvelles élections pour aboutir au résultat actuel. Le président nouvellement nommé, choisira d’un revers de manche, d’écarté tous les sujets sensibles pour se consacré principalement au seul dossier qui revêt de l’importance à ses yeux, la future  intercommunalité, devant être mise en place au 1 janvier 2014.

Le dossier moulin sortira subitement des cartons mi octobre, mis à l’ordre du jour, parmi d’autres sujets lors de l’AG de laCCHVS. La seule solution que le président propose, sera le retrait de la mise à disposition du moulin à l’association, qui se voit jugée seule responsable.

Rappelons qu’à aucun moment, hormis la visite d’expertise, propriétaire et occupant se sont rencontré pour une éventuelle recherche de solution à la remise en état du moulin.

Le président de la CCHVS annonce une éventuelle remise en état du moulin sans préciser qui va payer

De son coté, le président de l’association ayant reçu un courrier de la CCHVS, lui signifiant la fin de la mise à disposition, constate  que la cause du sinistre n’a pas été officiellement reconnu. De ce fait la responsabilité de l’association ne peut être établie. Au plus, cette convention relatant  des fautes graves à la charge du propriétaire, avec une conséquence évidente de mise en danger des utilisateurs et du public. Ce dernier entend proposer au président de la CCHVS, un ultime rendez-vous amiable, avant de se tourner vers son conseil et de mettre en route la machine judiciaire.

Une situation que certains élus préféreront sûrement éviter en rapport avec le calendrier lié aux réformes des collectivités territoriales.

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Une réponse à Moulin de CIVRY – L’heure de Vérité /4

  1. christine allen dit :

    vu

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