Cotillons et pollutions …
À l’aube de ce qui risque devenir la plus grosse affaire de pollution du canton de L’Isle sur Serein, le chef-lieu du canton continu d’œuvrer dans son paradoxe d’économie/dépense, avec ses fêtes du 14 juillet.
L’affaire du transport des boues de la station d’épuration, par le camion de la CCHVS, sans doutes pour des raisons d’économies, serai t’elle liée avec les dépenses engagées pour le feu d’artifice du village, qui, selon certaines rumeurs, avoisinerai les 5000€?
Le village commence à commenter le sujet des feux d’artifices à un moment ou le sacrifice est de rigueur. …..et principalement sur la destination des bientôt trop « célèbres boues » à en juger la réflexion d’ habitant de L’Isle …
« J’aurai jamais penser que mon cul fasse autant de bruit »
Une enquête sur le terrain nous à permis de connaitre la destination du chargement. Le lieu du dépôt sera bientôt révélé.
Ces investigations nous ont amenées à découvrir que L’Isle sur Serein n’était pas seul à procéder de la sorte. Certaines décharges auraient servies de plates-formes d’accueil des matières nocives
» et les vaccins? »
Sur le plan santé humaine un témoin anonyme demande si les employés de L’Isle sont à jour de leurs vaccins (*) et si toutes les précautions sont bien prises au moment de la manipulation.
*- Risques sanitaires (infectieux, toxiniques, écotoxiques) (source: wikipédia) Le compostage ne peut éliminer les métaux lourds (une partie du mercure peut s’évaporer) ni les polluants organiques ou organométalliques faiblement biodégradables (dioxines, PCB, certains pesticides, etc.). Ils persistent dans le compost si ce dernier est réalisé à partir de matières polluées ou souillées. Le risque est a priori plus élevé là où des rejets médicaux, artisanaux et industriels dont rejetés sans contrôle dans les réseaux d’assainissement collectif et là où le risque d’accident industriel est plus élevé (des bassins-tampon, recueillant par exemple les eaux d’extinction d’incendie limitent le risque, mais des rejets pirates sont aujourd’hui difficiles à prévenir). Par exemple en France, la seule collecte des amalgames dentaires a beaucoup fait diminuer le taux de mercure dans les boues urbaines10. Les travailleurs mal protégés peuvent être exposés (inhalation, contact, via blessures…) à certains spores de champignons microscopiques (moisissures) et actinomycètes allergènes ou à des pathogènes (parasites ou leurs œufs, bactéries,prions, virus) ou toxines (exemple : Aflatoxines, endotoxines) et allergènes libérés par ces organismes11.
Accès presque libre pour un lieu relativement toxique, un portail donnant sur la rue même pas fermé à clé
… à suivre !!
Wow !