Kyoto le 7 avril: Arrivée à Osaka hier vers 16h30. Visiblement nous étions attendu? Bon tant pis! ….. On y va. Le temps de passer prendre une voiture et direction Kyoto. Les événements actuels ne doivent pas nous faire oublier les choses importantes de la vie. Une chose très importante que je ne dois en aucun cas oublier, c’est bien l’anniversaire de Madame. Et Kyoto c’est pas mal pour ce genre de situation. Passons les détails de l’hôtel pour ne parler que du restaurant. endroit très sympathique, plutôt des jeunes. De toutes les photos du lieu, celle qui me plaît le plus reste celle de la plaque des horaires ……….. jugez vous même! En ce qui concerne les plats, que des bonnes choses. Une grande variété de jeunes légumes de la nouvelle année, des sashimis bien sûr et sur la photo N°5 , des sashimis de … cheval car c’est la spécialité de ce restaurant. Au risque de faire frémir certains, le morceau sur la photo est … l’encolure. De plus, c’est excellent, à moins que se soit la bière ???. Avant de se coucher, un petit tour du côté des informations et aujourd’hui, elles deviennent positives. Même si ce n’est pas tout à fait bien, il y a du mieux. Voyez par vous même la retranscription de l’émission radio NHK Word du mercredi 6 avril. Pour revenir sur nous, avant de partir en direction de Awajishima, petite matinée de Temple, et quelques bâtonnets d’encens à la mémoires des disparus de la catastrophe du 11 mars 2011.
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« Plus de fuite radioactive à la centrale de Fukushima
La Compagnie d’électricité de Tokyo, Tepco, a annoncé l’interruption des fuites de l’eau radioactive qui s’échappait d’une fosse en béton, à l’extérieur du réacteur 2 de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi.Mardi, l’exploitant a percé un trou dans une couche de graviers autour de la fosse dans lequel il a versé une solution à base de silicate de sodium, un agent durcissant, pour empêcher les fuites d’eau fortement radioactives dans la mer.Selon Tepco, celles-ci auraient cessé mercredi matin et le niveau d’eau dans la fosse et le bâtiment de la turbine à proximité est resté stable.Les techniciens sont à la recherche d’autres brèches par lesquelles l’eau pourrait continuer à s’échapper.Entre-temps, les opérations de déversement de 10 000 tonnes d’eau faiblement contaminée dans l’océan sont en voie d’achèvement. L’objectif est de libérer de la place pour les liquides fortement radioactifs.Tepco continue également d’asperger le site de la centrale de résine synthétique afin de lutter contre les émanations de poussière radioactive.Une série d’explosions dans les réacteurs 2 et 3 a dispersé des débris et de la poussière contaminée sur l’ensemble du site.
L’Institut français de radioprotection et de sûreté nucléaire, ou IRSN, a lancé un appel pour une surveillance à long terme de l’océan Pacifique au large des côtes du nord-est du Japon, à la suite des fuites d’eau radioactive de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi.L’IRSN a analysé l’impact de ces fuites sur l’océan contaminé par les eaux fortement radioactives du réacteur 2. L’analyse a été réalisée par des moyens informatiques en se fondant sur les chiffres disponibles.Ses résultats font état d’une contamination des eaux autour des côtes des préfectures de Fukushima et de Miyagi.Par ailleurs, des substances radioactives transportées par les vents se sont déposées dans la mer. Selon les estimations, cette eau contaminée pourrait se répandre dans tout l’océan Pacifique d’ici 3 mois.L’IRSN ajoute que certaines substances radioactives se dissolveront probablement dans l’eau, mais que d’autres vont se déposer sur les fonds marins.Le césium 134, notamment, peut rester dans la mer pendant plusieurs années et le césium 137 pendant environ 30 ans. L’IRSN a mis en garde contre une contamination éventuelle des poissons et des algues du littoral pacifique, au Japon.
Le commentateur de la NHK Nobuo Hayakawa nous parlera aujourd’hui de la réouverture des écoles au Japon.Radio JaponIl y a beaucoup d’écoles dans les trois préfectures sinistrées qui ne peut pas rouvrir, n’est-ce pas ?Nobuo HayakawaEn effet, en tout, dans les trois préfectures, une sur 6 ou 7 écoles ne peut pas rouvrir. La NHK a effectué une enquête auprès des comités de gestion des écoles de la région, et la principale raison avancée était que la plupart des établissements scolaires étaient utilisés comme centres d’évacuation. La deuxième raison mentionnée était que des écoles avaient été balayées par le tsunami ou endommagées, ce qui les avait rendues inutilisables. Etait citée en troisième la disparition d’un grand nombre d’élèves.Radio JaponTout cela rend donc difficile la reprise des cours dans ces écoles.Nobuo HayakawaOui, c’est exact. Certaines écoles s’efforcent de reprendre les leçons en utilisant des bâtiments scolaires proches qui ont survécu à la catastrophe, en organisant des cours conjointement avec d’autres établissements, ou en créant des groupes séparés travaillant alternativement le matin et le soir pour deux écoles partageant le même bâtiment.Mais plusieurs enseignants ont péri ou sont portés disparus, et d’autres vivent dans des centres d’hébergement, ce qui rend d’autant plus difficile la reprise des cours. Par ailleurs, la zone autour de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi est interdite et personne ne peut entrer dans les établissements scolaires qui s’y trouvent. Ainsi, de nombreuses écoles ne peuvent pas rouvrir, même si elles le voulaient.Radio JaponQue faut-il faire pour que les écoles rouvrent ?Nobuo HayakawaIl faudrait tout d’abord que les écoles contactent rapidement les élèves et leurs parents. Les écoles décident du nombre de classes et d’enseignants en fonction du nombre d’élèves. Les comités de gestion des écoles peuvent apprendre le nombre d’élèves se trouvant dans les centres, mais en ce qui concerne les familles qui ont évacué séparément, il est difficile de se faire une idée exacte du nombre d’élèves.Les enseignants qui ont connu le grand tremblement de terre du Hanshin en 1995 font remarquer que pour rouvrir les écoles, il est indispensable d’alléger le fardeau des professeurs qui travaillent en même temps dans les centres d’hébergement. Ils estiment que la responsabilité des activités dans les centres devrait être progressivement transférée aux organisations municipales, afin que les enseignants puissent se concentrer sur la communication avec les enfants. Rester en contact avec leurs professeurs permettrait aux enfants de se sentir plus en sécurité. Les enseignants expliquent qu’après le séisme du Hanshin, les voix joyeuses d’enfants ont redonné de l’espoir aux sinistrés. Nous espérons que le jour viendra où de telles voix s’élèveront de nouveau dans la région dévastée de l’Est du Japon.C’était Nobuo Hayakawa, commentateur de la NHK.
Les pêcheurs japonais demandent à Tepco de les indemniser pour les dommages infligés aux réserves poissonneuses par le déversement d’eau radioactive dans la mer.Le président de la Fédération nationale des associations des coopératives de pêche, Ikuhiro Hattori, a formulé cette requête au cours d’une réunion avec le président de Tepco, Tsunehisa Katsumata, mercredi à Tokyo.M. Hattori s’est plaint de ce que Tepco n’a pas consulté les pêcheurs avant de se débarrasser des eaux contaminées de la centrale Fukushima Dai-ichi. Il a exigé que tout soit mis en oeuvre pour faire cesser les fuites d’eau radioactive et que Tepco, ainsi que le gouvernement japonais, s’engagent à les dédommager pour les pertes subies.M. Katsumata a présenté ses excuses aux pêcheurs.M. Hattori a par la suite déclaré à la presse qu’il était très en colère et qu’il souhaitait la fermeture immédiate de toutes les centrales nucléaires du pays. Il a ajouté qu’en aucun cas les pêcheurs ne coopèreraient à nouveau avec les exploitants des centrales nucléaires.
Deux écoles primaires situées près de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi ont organisé une cérémonie conjointe pour célébrer la rentrée dans les locaux improvisés où elles ont pris refuge.Ces deux écoles se trouvent à Tamura, dans un rayon de 20 à 30 km autour de la centrale, déclaré zone de confinement par le gouvernement japonais. Elles ont été contraintes de déménager dans un bâtiment plus éloigné.Les noms des 134 élèves des deux écoles, dont 20 nouveaux inscrits, ont été cités pendant la cérémonie à laquelle participaient aussi les parents.Dans un discours, l’un des proviseurs a encouragé les enfants à créer des liens d’amitié.La cérémonie s’est conclue sur l’hymne des deux écoles. Les élèves ont ensuite gagné leurs classes respectives et se sont présentés à leurs camarades.
La Banque asiatique de développement prédit une croissance robuste de 7,8 pour cent pour la région Asie-Pacifique dans son ensemble. L’organisation pense que l’impact de la récente catastrophe au Japon sur les chaînes d’approvisionnement sera limité.Mercredi, la banque a annoncé ses perspectives pour les 45 économies de la région, sauf le Japon et d’autres nations industrialisées, en conférence de presse, à Hongkong.Selon la banque, la croissance de la région Asie-Pacifique devrait se poursuivre cette année, grâce à l’expansion rapide des économies émergentes comme la Chine et l’Inde.Elle a précisé que le séisme et le tsunami du mois dernier ont porté un coup à la consommation et aux activités des entreprises au Japon.La banque a néanmoins fait remarquer que les interruptions dans l’approvisionnement en pièces détachées automobiles et composants électroniques des autres pays d’Asie auront des effets limités sur l’économie de la région dans son ensemble.L’économiste en chef de la banque estime que les interruptions dans les chaînes d’approvisionnement après la catastrophe ne dureront qu’environ 6 mois.
Le ministère japonais des Sciences communique sur son site internet les niveaux de radiation relevés dans le pays entier. Ces informations sont également fournies en anglais, en coréen et en chinois.Les niveaux de radiation et de susbstances radioactives détectés au sol, dans l’eau de pluie, dans l’eau du robinet et dans l’atmosphère sont disponibles sur le site du ministère.Des mesures indépendantes de radiation effectuées par le ministère près de la centrale Fukushima Dai-ichi, gravement touchée par le séisme, sont aussi publiées.Retrouvez ces informations à l’adresse suivante : www.mext.go.jp »
Ma Kiki c’est son anni ???
Cool de le passer là-bas !
Dis-lui que je pense à elle. Les photos où on l’on vous voit « peu », mais le bonheur se « sent »… J’adOre !!!
Et puis… avec « la bagnole » c’est la totale que vous me faites… Ha ha…
Big bisous
Vous voici toutes les deux dans le même clan des pom-pom….
Tes pensées la réchauffe. elle se sentait un peu seule dans ce nouveau club
La « bagnole »…. c’est comme au cinéma avec la loc… en moins Ha…Ha…!